Me revoilà avec trois poèmes en compétition pour le Grand Prix du Court du site Short édition ! Ce sont des textes sans surprise pour vous qui me lisez puisque je les avais déjà publiés ici en attendant la réponse du comité éditorial, mais si vous avez envie de leur donner un petit coup de pouce et de leur faire gagner quelques places dans le classement du Prix, c’est par là :
Là où tu n’es plus – 169 voix actuellement, 112ème place.
C’est mon premier sonnet, composé à la mémoire de mon grand-père. J’y évoque la difficulté de faire son deuil quand on est loin et qu’on ne vit pas l’absence au quotidien – par une vue de l’esprit en quelque sorte.
Entre deux rives – 173 voix actuellement, 104ème place.
C’est un rondel, pour ceux qui ont suivi mes explorations poétiques. À l’origine, ce texte a d’abord été un essai de haïku non publié, puis un court poème très très privé pour mon mari – non publié non plus – avant de devenir un triolet ici… Comme le rondel est légèrement plus long, il m’a permis de développer un peu par rapport au triolet, qui était purement descriptif, et le thème de l’émigration s’est forcément imposé car, quand on a ce paysage sous les yeux en permanence, cette côte espagnole si nette à l’horizon alors que partout dans la ville, on voit des migrants d’Afrique subsaharienne survivre comme ils le peuvent en attendant de pouvoir traverser ce bras de mer de 14 km, on ne peut pas s’empêcher d’y penser…
Pendant ce temps, à Bethléem – 154 voix actuellement, 131ème place.
C’est un court poème en octosyllabes dans lequel j’exprime mon ressenti par rapport à une actualité navrante. Certains lecteurs comprennent tout de suite de quoi il s’agit, d’autres passent à côté… Et vous ?

Merci d’avance pour vos votes et/ou vos commentaires. C’est grâce à vous que je progresse 🙂
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